Deus’ta! revient pour 2 jours de concerts aux Capucins. Fest-deiz, fest-noz, musiques actuelles et autres découvertes autour de la culture bretonne. Retrouvez cette ambiance unique d’un festival « penn-da-benn » porté par des bénévoles au service de la culture et de la transmission de langue bretonne.

Et vous, auriez-vous l'audace de draguer votre femme sur internet sans qu'elle sache que c'est vous ?

Dans ce jardin partagé où pléthore d’essences rares se font des œillades, il suffit de laisser son imaginaire voguer. Entre douce rêverie et transe frénétique, toutes les entrées en matière s’envisagent avec volupté, voici quelques idées :
S’imprégner du Festival avant tout le monde, avec les concerts et spectacles programmés à Gouesnou, Daoulas, Lesneven, sur les Îles du Ponant. Vivre l’expérience rare d’écouter deux versions différentes de l’œuvre In C de Terry Riley. Faire un frichti au Centre d’Art Passerelle le midi en découvrant des artistes passionnants. Passer un samedi à danser aux Ateliers des Capucins et à La Carène, que cela se dise, NoBorder convoque aussi les corps. Vibrer à la tombée de la nuit dans l’intimité du Musée des Beaux-Arts grâce à la grande salle au plafond de verre magique. Aller butiner l’air du temps et piocher dans ses fécondes productions au Cabaret Vauban. Se délecter du retour de la bonne vieille cassette à Bad Seeds Recordshop.

En Afrique de l’ouest, Alboury s’introduit sur le chantier d’une entreprise française pour réclamer le corps de son frère, prétendument mort dans un accident de travail. Son intrusion coïncide avec l’arrivée de Léone, débarquée de Pigalle pour épouser le chef de chantier… Avec son écriture viscérale, Koltès révèle les violences d’une société à travers les drames intimes, l’humanité et l’inhumanité de ses personnages. Mathieu Boisliveau et le collectif Kobal’t nous plongent dans Combat, en disposant le public autour de la scène. Au fil de cette tragédie de la vengeance, écrite comme un thriller, le théâtre devient le chantier et la lumière nous accompagne, du crépuscule à l’aube, vers un dénouement qu’on devine sombre comme le jour.

Concilier l’esthétique baroque de Vivaldi aux gestes sportifs contemporains, voyager de la Grèce antique aux JO 2024 en passant par les premiers Jeux modernes de 1900, le tout sur fond d’intrigues amoureuses… Avec son opéra-sport « L’Olimpiade », Jean-Christophe Spinosi s’invite dans un lieu à la mesure de son audace : les Ateliers des Capucins !

A travers une série d’objets trouvés, détournés ou upcyclés, 17 jeunes créatrices et créateurs diplômé(e)s de l’EESAB dessinent les contours de l’art de demain, mais surtout du monde à venir, où réappropriation, partage et échange prennent le pas sur le contexte anxiogène de l’époque.

Plantes Pour Tous revient à Brest avec sa Grande Vente de Plantes à prix mini !

A partir de 2€, trouvez la plante qui vous convient parmi plus de 150 variétés (Monstera, Pilea, Ficus, Calathea...). Des plantes d'intérieur et d'extérieur directs producteurs pour un max de fraîcheur.

Tomber, verbe intransitif : perdre l’ équilibre et faire
une chute, s’ affaisser au sol ; s’ abattre, crouler,
s’ écrouler.

Amour.eux.se, adjectif : qui aime quelqu’ un d’ autre,
qui éprouve de l’ amour.
Tomber amoureuse, amoureux.

Quel bordel.