Boris Charmatz s’inspire de La Ronde de l’auteur autrichien Arthur Schnitzler parue au début du XXe siècle et qui décrit une suite de couples liés les uns aux autres dans une sorte d’inventaire d’amours illégitimes. Sur cette trame, il chorégraphie ainsi une chaîne humaine ininterrompue formée de duos dansants, chacun comprenant un interprète du précédent.